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La Vie Sans Toi..

1 mai 2012

...

L'air est cerné de brouillard. les heures s'égouttent en bruine opaque et noir, une précipitation sans mouvement qui se mêle a l'étendue sans bruit qui coule sur la pierre. le jour s'égoutte s'assemble a la nuit. des briques. des tas de briques comme un puzzle noir et blanc qui deviens gris, dur, froid, des pièces sans formes qui se tachent de rouge autour d'un rien qui se paralyse..  je ressent le vide qui s'épaissit qui englobe le silence et qui ne fais plus qu'un avec. j'ai froid, un froid polaire engourdissant, impitoyable, un froid qui ne laisse rien d'autre que l'impression d'une rue déserte , d'un monde qui se rétrécit, qui se ferme a l'apres, un froid silencieux qui gèle un peu plus chaque instant la chaleur qui maintien le corps en apnée quelque part entre ici et la bas. les tissus ce sont teintés de couleurs enflammé comme ci l'imobile brûlait. tout est noir. la nuit, les rues. ya juste un filet de lumière blanche sortit de la brume qui tente d'éclairer l'invisible. mes lèvres on le goût de sang, mes mains son odeur. il ruisselle. inexpressif, sibérien, il s'engouffre dans le silence, disparaît dans les ombres discrète des rayons de lune. je n'arrive plus a bouger. mes pensées zigzag, ma tête est lourde comme un étau. j'ai sommeil. envie d'ailleur. j'ai peur.

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30 avril 2012

...

POLLUTION

DECHET HUMAIN

POUBELLE

FLAQUE DE BOUE

ORDURE

BOULET

 

25 avril 2012

Orage

Un auvent d’obscur s’incline
Dans le clair sinistré,
Intempérie éclair
En pleurs de macchabées
Sur la terre qui imprime
Des fracas enragés
Un raz-de-marée colère
En grondement inanimé,
S’affrète puis s’anime
A l’occulte agité.

Ténébreux soir hostile
Déchaînement redouté
En vague agonie se compile
La mort encagoulée.

16 avril 2012

Pas d'ici.

Je ne trouverais jamais ma place sur cette planète. peut être  parce que je n'en ai pas. je ne fais pas partie du monde que j'ai rencontré, ni de celui d'ou je viens. je ne fais partie de rien. je me sen en trop, dérangeante. gênante. personne n'a jamais souhaité ma présence sur cette terre et je suis la quand même a faire semblant d'avoir de l'intérêt. a persévérer dans un truc qui me dépasse. un monde que je ne comprend pas. c'est ça que j'aurais voulu comprendre. mais  je ne comprend rien, mon cerveau est en ébullition, il m'empêche de réfléchir, il m'impose des personnes en tête, tous ceux que j'ai pus aimer, tous ceux a qui j'ai pus m'attacher, tous ce que j'ai perdus, tous ces moments qui ne reviendront pas, et il a pas envie de me montrer la suite. il a bugger quand la moitié de moi est parti. peut être que c'est parce que mon cerveau n'est pas entier. n'est plus. peut être parce que si on est venu a trois sur cette terre, il y'avais un but a ça, et que deux de partis c'est un en trop qui reste. si la seul chose que j'avais a faire était de rejoindre les parties de moi manquante? a la question de savoir si j'en aurai envie, la réponse me terrifie. ça reste de l'inconnu, et l'inconnu fais peur. et le courage ça me connais pas trop. je suis faible. bien trop faible. j'ai laissé tous voir de moi..

j'ai tellement de pensées en tête que les suites de mots s'alignent sans aucuns rapport les unes avec les autres..

je ne savais pas qu'il était possible de se sentir bien. sans aucunes peurs, sans aucunes pensées en tête. juste bien. c'est possible, et c'est magique. c'est des moments a part ou plus rien ne compte. c'est tous simplement les plus beaux de tous les souvenirs que je peu avoir depuis ma naissance. c'est un cadeau merveilleux qu'on ma fais.

j'ai découvert ce que c'était que d'être heureux pour de vrais et c'est bizarre, c'est en pleurant que je l'écris. Peut être que c'est parce que des le dépars je savais que ça ne pourrais pas durer. je n'ai pas le droit d'être comme ça alors que j'ai fais tans de mal toute ma vie autour de moi. tellement de vies ont été bousillé par ma faute. celle de mes parents, de mes oncles, de mes tantes, de mon cousin, de mon frère, de ma sœur, de ma cousine... comment je peu encore être la a vivre tous simplement?

ça ne dure pas. être heureux.  il ya toujours une peur, une angoisse, un souvenir, des doutes , des questions, un malaise de vivre ce que eux ne connaîtrons jamais, un tout qui reviens prendre possession de moi. qui m'empêche de croire que cette sensation reviendra. qui me dit que me sentir ainsi c'est les trahir que je ferait mieux de mourir. c'était quand même le plan initiale. être un.  être nous.

peut ‘on cesser de vivre avec les fantômes? je dirais non. certains dirait oui. mais il faudrait attendre combien de temps? trop, beaucoup trop longtemps. les fantômes, c'est maintenant que j’en veux plus. et eux ils sont la, ils squattent et ils ne s'en vont pas, jamais.

pour la première fois depuis eux j'ai eu l'impression de compter un tous petit peu aux yeux de quelqu'un. et c'était un effet magique.

et sans rien me demander en échange ou si peu. de me sentir bien. c'est la personne la plus belle a l'intérieur d'elle que j'ai pus rencontrer de toute ma vie.

j'ai pris peur a l'instant ou j'ai réalisé qu’'il me manquait. au moment ou j'ai ressentit cette envie d'être auprès de luis sans raison particulière  juste pour être avec et passer du temps ensemble. au moment ou j'ai compris que j'ai laissé mon cœur s’ouvrir a quelqu'un  alors que je m'étais promis que ca n'arriverais plus jamais. j'ai déjà aimer, je les ai aimer eux, mais ça s'arrête toujours, ça fais mal, ça détruit.  je me suis promis de ne plus jamais aimer et j'ai pas tenue ma promesse.

a partir de maintenant je suis une machine

ya trop d'histoires compliquer qui prennent une place trop énorme en moi. ya plus de place pour le reste.  j'ai parfois l'impression de ressentir une absence de liberté. en fait je suis pas sur que ce sois le cas. c'est peut être simplement que le seul but de ma vie n'a jamais été que de la chercher et que maintenant que je l'ai trouvé, qu'elle est la, devant moi, je ne sais pas la reconnaître. peut être que je l'ai idéalisé. je l'ai perdus.  la vrais liberté.. je ne crois pas qu’elle soi ici, sur cette planète. elle est ailleurs.

ne plus savoir faire un pas devant l’autre, être pris dans une tornade et tourbillonner dans tous les sens sans que jamais le vent s’arrête

c’est bizarre ce qu'on peu ressentir parfois a l’intérieur de soi..  une impression de vide, de néant, une douleur qui tape un rythme trop rapide partout a l’intérieur du corps, un manque, un ouragan qui détruit tous sur son passage…

une envie, une évidence sur ce qu’il reste a faire,

une envie de se taper la tête dans un mur jusqu'à ce qu’il n’en reste plus rien

de perdre chaque litre de sang qui se trouve a l’intérieur du corps en goutte a goutte, le temps de se souvenir du mal qui a été fait.

des doutes, tellement de doutes, d’absence de courage, d’absences a l’intérieur, d’absence et de vide.

ressentir une douleur tellement envahissante que plus rien ne peu l’arrêter,

se souvenir de ce qu’il c’est passé et se rappeler qu'on la bien chercher,

que tout est ma faute et que j’ai fais bien plus de mal que de bien.

se rappeler qu'on a essayer toutes les directions..

se souvenir que la solution a tous, au monde, et a une existence qui ne devrait pas est la, devant soi a tendre les bras.

Envie de rien parce que plus rien ne compte

 

30 mars 2012

Papillon

papillon effacé

clandestine alvéole

dans le jour oublié

échos d'un envol

 

papillon hermétique

somnole anonyme

évasion aquatique

au tréfonds d'une abîme

 

papillon épouvante

ténèbres a l'éveil

sans portes, fosse béante

regagne le sommeil.

 

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18 mars 2012

Manger.

je sens encore le bois de la chaise sur mes épaules et j'entend encore le claquement qui frappe sur tes oreilles.  je me souviens de ce bruit sourd et de la douleurs qu'il provoque comme si il datait de ce matin. ça fais trois ans pourtant. trois ans que je ne sen plus rien. que je ne l'entend plus. mais ça reste présent dans la tête et sur le corps. comme ci a chaque fois que je voulais manger ils étaient la, a m'observer, prêt a réagir, a dire non ta pas le droit.

je sen encore les brûlures. la chaleur du feux sur mes jambes. tes larmes qui coulent. parfois j'ai encore l'impression d'être enchaîné a tous ces murs que je n'ai jamais pus supporter. j'ai encore cette sensation de vertige du moment ou je devait tracer nos excuses avec ton sang.  je me souviens que pour une glace tu aurait fait n'importe quoi. finalement t'en a jamais mangé. et je crois que c'est mieux comme ça. la douleur ne s'arrette pas. elle ne s'arrette jamais

j'ai découvert un nouveau monde. il est magique. il a quelque chose qui fait qu'une fois qu'on le connais on finit par l'aimer. même si il fais peur, même si il est pleins d'inconnus. c'est un monde différent ou manger n'est pas synonyme de mort lente et douloureuse ou de péché impardonnable qui conduira en enfer même en restant sur terre comme on a pus nous le faire croire. non, c'est différent. c'est beau. c'est un peu ce que tu étais. t'aurais eu ta place dans ce monde, j'en suis persuadé. tu l'aurais aimé. pourtant la douleur ne s'en vas jamais.  elle reste. parfois elle s'endort mais elle se réveille au moindre bruit, au moindre geste. pour un regard ou un objet.

tu te souviens de cette baignoire ou ils ont voulus nous noyer? de cet arbre ou elle a voulu nous brûler? des plaques électriques et des cloques qui se formaient? du froid du carrelage? de la chaleur qu'il prenait quand on l'innondait de sang et de larmes? je peu pas m'enlever du crane le aye que tu hurlait. ni le silence qui suivait quand ta tête l'avait un peu trop heurté. 

la douleur elle ne s'en vas jamais. de la haut je sais pas si tu la ressent encore mais je te demande de m'aider. pour avoir une chance de pouvoir continuer a découvrir ce monde tu dois me faire oublier. tu dois me laisser t'oublier et arrêter de briller dans le ciel. c'est trop dur de sentir ta désapprobation de si loin. c'est trop dur de me rappeler chaque instant la douleurs que t'avais dans les yeux. celle qu'on ressentaient tous.  c'est trop dur de me rappeler la seul fois ou on a vraiment essayer de manger. ca fais encore mal.

trois ans pourtant. combien encore il en faudra?

tu me manque tu sais.

 

15 mars 2012

L'ours est il noir, blanc ou sans couleurs?

 Ce matin le soleil a fait son apparition. Il réchauffe un peu, en surface. il ya ce froid qui reste et qui s'infiltre dans les manches, mais qui n'est réellement froid que sous l'ombre des arbres ou dans les rues de hautes et vieilles maisons. ce même froid intense et prenant qui ma engloutit le jour ou tu est partis. j'ai froid. tous le temps, a chaque instants. Aujourd’hui je n'arrive pas à te faire sortir de ma tête. parce que chaque jour, chaque découverte me ramène a nous et a nos rêves. parce que vivre tous ça sans toi m'est devenue insupportable. on étais bien ensemble. 

quand ta décider de me quitter et de quitter tous ce qui t'avais fait, tous ce que t'avais connu,  je t'en ai voulus. j'ai laisser les ours m'attraper, m'envoyer dans un foyer, j'ai écouter les mots qui disaient que je t'oublierai, j'ai arrêter de rêver. y'avais plus rien a imaginer. je regardait  les jours passer a travers des carreaux en me disant que plus rien ne comptai. je pensais a l'ours et a tous ce qu'il étais. et t'avais tellement raison tu sais.

ils ne m'ont pas demandé mon avis. après ta mort les ours savaient. ils connaissaient notre histoire, les refuges de la nuit. je ne pouvais plus leurs échapper.  je n'avais même pas la force d'essayer. il y'avais ce vide. ce vide tellement grand. ce vide que tu a provoqué. je les ai laissé m'enfermer. par moment je te hait.

ils avaient tellement de mots, de promesses, d'ordres. tellement de "c'est pour ton bien", tellement de tous et pourtant une seule et unique route déjà toute tracé dans la tête sur laquelle je devais marcher sans un faux pas. ils savaient tous, je ne savait rien. ils mentaient. quand ils m'on assuré que tous mes pits cats seraient confié a la concierge de l'immeuble du foyer en attendant que je puisse les récupérer j'y ai crus. ils on dis ça avec des mots qui manipulent, des mots qui  assemblé de telle ou telle façon ne veulent plus dire la même chose. des phrases dont le sens change en fonction de la ponctuation.   j'avais plus d'énergie pour émettre d'objection. ils ont envoyé mes chats dans des refuges et ils ont été adopté. ils me manquent. ils ont mentit. je suis resté a peine quelques semaines dans ce foyer et je suis repartit dehors. le jour de mes dix huit ans. avant j'étais obligé de rester, j'étais trop fatiguer pour me cacher. les ours n'ont jamais cessé de nous mentir et depuis que tu est partit rien n'a changé. j'en ai rencontré tellement. ils on toujours tous eu un but précis derrière la tête. une pensée caché. tu avait tellement raison quand tu disait que tous les ours se ressemblaient. et moi qu'essayait de te convaincre du contraire. je m'en suis voulu tu sais. je m'en veux encore.

tu avais raison. mais aussi tellement tort. j'ai rencontré des ours blanc. pas souvent c'est vrais. mais parfois l'un d'eux a croisé ma route. j'ai rencontré un ours polaire aussi. j'ai rencontré des amis. ya eu tania . ok c'est vrais c'était pas une ourse. depuis quelques semaines ma vision du monde a complètement changé. j'ai découvert un coté de la planète que j'avais encore jamais aperçus. une façon de fonctionner différente. un monde ou la peur n'est pas omniprésente. c'est une sensation étrange, un peu étouffante au début. apaisante. inconnue. terrifiante.

je saurais pas encore te décrire ce monde, j'ai pas les mots pour l'expliquer. il est encore trop d'inconnu pour que je puisse vraiment le comprendre et te le partager mais je te promet que je te le raconterais.

tu sais maintenant je crois sincèrement en l'ours blanc et au fait qu'ils soient bien plus nombreux que tous ce qu'on a jamais pus imaginer. et je me dis parfois que t'avais peut être pas tans raison que ça. souvent je ne sais plus quoi penser. j'ai l'impression que l'ours noir est née.

tu étais ma petite sœur et je pensais que tu ne cesserais jamais d'y croire. de croire en la vie et en tous ce qu'elle peut apporter. en bien comme en mauvais. mais ta cesser de regarder toute la magie des mots que je pouvais te raconter. et moi je cherche encore des réponses. la signification de ton dépars. l'ours est il noir, blanc ou sans couleurs? Faut-il encore y croire. au fond esque c'est pas toi qu'avais raison.

13 mars 2012

et si on étaient tous pareil..

je suis un déchet. ça c'est une certitude. il ya des gens bien et des gens pas bien, des gens qui valent plus que d'autres, dans ce qu'ils sont ou ce qu'ils font. mais si on part du principe qu'on est tous fait de peau, d'os, de sang, d'eau et même de molécules et qu'on est tous complètement identique au départ alors pourquoi il y'a des gens qui décide pour d'autres? pourquoi certaines personnes ont le pouvoir de décider pour eux même et pour pleins d'autres ours sans leurs demander leurs avis? pourquoi il ya des gens qui ont le droit d'aller a l'ecole et d'autre non? pourquoi certaines personne vont se faire renvoyer de l'endroit ou elles sont simplement parce que elles ont pas un bous de papier? pourquoi ya des gens qu'on deux maisons de quinze kilomètre de longueur accroché ensemble alors que d'autres on des minuscules maisons et vivent a dix dedans? pourquoi ya des gens qui gagnent plus d'argent que je pourrais jamais en gagner en faisant la manche depuis l'age de pierre simplement en courant après un ballon? on peu tous courir après un ballon. en plus ça sert pas a grand chose comme travail. pourquoi c'est pas par exemple les pompiers qui gagne ça ? quand ils vont éteindre des feux c'est dangereux et c'est quand même beaucoup plus utile. pourquoi on met des caméras partout dans les villes? c'est flippant de se dire qu'il peu y'avoir des gens qui nous regardent et que nous on ne voient pas. moi en tous cas je trouve ça flippant. si on était réellement tous pareil ce serait pas le cas.  si on était tous pareil personnes n'aurait le pouvoir sur un autre ou alors on auraient tous un pouvoir identique. c'est qu'il ya bien une différence entre les gens. je me suis jamais posé la question de savoir qu'elle était cette différence ou ces différence. pour moi ça a toujours été évident, il y'a des gens au dessus des autres, c'est normal ça a toujours été comme ça. es-que cette différence ce trouve a l'interieur de nous? a l'exterieur de nous? qu'es qui fait qu'une personne commande et une autre obéit? ce monde est fait d'une façon bizarre et je suis loin, très très loin de le comprendre. et je crois que je me pose encore trop de questions. j'aimerais un jours connaitre les réponses de toutes les question. ce serait hyper chouette.

7 mars 2012

Envie d'ailleurs.

Envie de te retrouver. de vous retrouvez. envie de partir. envie de toi. envie d’ailleurs. envie de nous. de notre terre. de notre sphère. de quelque chose qui n'est pas la. envie de ne pas vous oublier. de ne pas t'oublier. cessé de vivre uniquement pour tous vous racontez. vivre ensemble. a nouveau. un renouveau. ne plus polluer, ne plus déranger. envie d'être nous, de m'envoler, de vous rejoindre. de se retrouver. envie d'être sans peurs. envie d'ailleurs.

6 mars 2012

Voitures

les voitures se suivent, se poursuivent, elles roulent, chacune avec son histoire, ses passagers, ses morceau de vie qui se retrouvent emprisonné le temps d'un trajet derrière des vitres. des carreaux transparents qui ne laissent pas passer toute la beauté d'un éclat du soleil nis toute l'intensité de la pluie et du vent qui nous fais nous sentir si vivant. des morceau de verres assombris par la suspension du temps dans la vie de chaque individus qui l'empreinte. chaque voiture est différente et abrite des secrets, des souvenirs, des voyages, un inconnu indéfinissable hermétique a tous ceux qui n'en franchissent pas les portes. des instants hors du monde. j'aime les regarder défilé sur les autoroutes, les observer, suivre ces  points lumineux qui filent a une vitesse tellement grande qu'ils laissent tout imaginer puis les perdre. me poser en hauteur et regarder ces vagues de civilisation s'intensifier et s'aditionner avant de s'estomper. les regarder de loin, sans trop les approcher.

 

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La Vie Sans Toi..
  • la nuit est froide. Dans ses couleurs, dans ses odeurs, a chaque pas.. le noir transpire, il déteint sur la peau, se fond dans les rue , s'accroche et ne fais plus qu'un avec le corps. chaque matin.. je me rappelle que tu n'est plus la.
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